Le premier droit revendiqué par le mouvement LGBTI est donc celui de pouvoir pratiquer librement sa sexualité (LGB), de pouvoir vivre son genre quel que soit son sexe (T), et de ne pas être poursuivi ou menacé en raison de son orientation sexuelle (LGB), de son genre (T). ou pour les personnes intersexes (I).

Dans de nombreuses sociétés, les rapports homosexuels sont considérés comme des délits ou des crimes, parfois passibles de prison, voire de la peine de mort (Afghanistan, Arabie saoudite, Brunei, Iran, Mauritanie, Pakistan, Qatar, Yémen, ainsi que les 12 États du Nord du Nigeria et les émirats islamiques d’Al-Shabbaab en Somalie).

Dans les sociétés où l’homophobie, la biphobie et la transphobie restent importantes, les personnes LGBTI ou considérées comme telles, sont parfois victimes de discrimination à l’embauche, au logement et à l’accès aux services publics quand ils ne sont pas simplement victimes de violences. L’un des premiers droits revendiqués par le mouvement LGBTI est donc celui d’être traité équitablement, quelle que soit son orientation sexuelle (lesbienne, gay, bi ou hétérosexuelle) ou son identité de genre (trans ou cisgenre) ou les personnes Intersexes

Pour garantir cette égalité de traitement, les militants LGBTI revendiquent parfois la mise en place d’une législation condamnant les discriminations et les actes homophobes.

Nous considérons que cela fait parti intégrande de la déclaration Universelle des droits de l’Homme !